Sujet

Plus de 35°C dans des salles d’examen lors des épreuves du baccalauréat, des habitants éprouvés par la surchauffe de leurs logements… L’été 2022 a de nouveau démontré que nos bâtiments ne sont pas adaptés pour faire face aux nouvelles vagues de chaleur. Pourtant, chaque année, des dizaines de milliards d’euros sont investis dans des opérations de construction et de rénovation qui ne tiennent toujours pas compte de l’évolution du climat.

Description

Dans cette étude, I4CE propose d’actionner tout de suite trois leviers pour amorcer une dynamique d’adaptation de nos bâtiments, et trois évolutions plus structurelles parmi lesquelles l’évolution de la réglementation thermique.

Sommaire

LES BÂTIMENTS CONSTRUITS ET RÉNOVÉS AUJOURD’HUI NE TIENNENT TOUJOURS PAS COMPTE DE L’ÉVOLUTION DU CLIMAT 

• Les conditions actuelles sont déjà problématiques et ce n’est que le début
• Ni la règlementation ni les aides financières n’incitent à adapter les bâtiments à l’évolution du climat : en route vers la maladaptation ? 
• La climatisation : cas d’école de la maladaptation 

RÉALISER DES PROJETS ADAPTÉS : C’EST DÉJÀ POSSIBLE 

• Une approche « durable » et « globale » du bâtiment permet de maximiser les cobénéfices entre atténuation et adaptation au changement climatique 

• Quelles solutions lorsque cette approche n’est pas suffisante ? 

POUR UNE PRISE EN COMPTE SYSTÉMATIQUE DE L’ÉVOLUTION DU CLIMAT DANS TOUS LES BÂTIMENTS CONSTRUITS ET RÉNOVÉS EN FRANCE 

• Trois leviers à actionner pour amorcer une dynamique d’adaptation ambitieuse 
• A terme, des évolutions plus structurelles sont à envisager pour un parc de bâtiments vraiment adapté

Source : i4ce