Réversibilité d’un bâtiment : comment rester prudent
contexte
Alors que la Réglementation Environnementale 2020 va entrer en vigueur d’ici quelques jours, les paramètres d’évaluation vont intégrer la composante carbone.
C’est dans ce cadre que la notion de « réversibilité du bâtiment » apparaît comme un élément pouvant aider à réduire l’empreinte carbone. Elle définit l’aptitude d’un ouvrage neuf ou existant à changer d’usage plusieurs fois dans sa longévité.
Afin d’améliorer la qualité de la construction de bâtiments réversibles, la Direction de l’Habitat, de l’urbanisme et du Paysage (DHUP) a confié à l’Agence Qualité Construction la mission de réaliser une étude permettant de dégager des enseignements et des bonnes pratiques.
OBJECTIFS
Ce document « Réversibilité des bâtiments – Points de vigilance et recommandations » est adressé aux professionnels de la construction tels que les aménageurs, les maîtres d’ouvrage et maîtres d’oeuvre. Ceux-ci participent à des opérations de construction ou de réhabilitation destinées à des bâtiments tertiaires, des établissements recevant du public et à de l’habitat collectif et individuel.
Il a pour fonction d’établir un état des lieux des savoirs et des définitions des bâtiments réversibles. Il tend à identifier les points délicats et d’émettre des recommandations quant à leur conception et leur mise en oeuvre.
PUBLICATION
Ce rapport de 32 pages, tiré de cette étude, est subdivisé en 2 parties :
1- La réversibilité en question (p.8)
2- Points de vigilance et recommandations (p.32)